La vente de véhicules de seconde main est de plus effectuée par le biais de sites internet, cela à pour avantage de se passer d’intermédiaires, ce qui permet d’économiser des frais supplémentaires et le versement d’une commission. Cela cumule également l’avantage de la rapidité à la simplicité de diffusion de son annonce, mais cela ne va pas sans risques. En effet, se reposer sur un intermédiaire, bien que cela occasionne un cout supplémentaire, apporte des garanties de paiement et de vérification de l’état du véhicule. Si malgré tout vous désirez vous charger personnellement de la vente directe de votre véhicule, voici quelques écueils à éviter, afin de vous préserver des pièges de gens mal attentionnés et de ceux que nous réservent parfois les formalités administratives.
Avoir des documents administratifs en règle
Lors de la cession de votre véhicule, il est essentiel d’être à jour pour tout ce qui concerne les documents que vous devrez remettre à l’acheteur. Il est possible de faire appel à un spécialiste pour gagner du temps : https://www.cartegriseminute.fr/ se chargera pour vous des formalités administratives nécessaires à la mise en conformité de votre carte grise. Outre ce document, il vous faudra transmettre un certificat de cession ainsi que le rapport de contrôle technique. La réalité de la transaction sera attestée par ce certificat, qui doit être produit en trois exemplaires et sera nécessaire à l’acquéreur pour obtenir la nouvelle carte grise. Le premier exemplaire revient à l’acheteur, vous conserverez le second et le dernier devra être transmis dans les quinze jours à la préfecture, ce qui permettra à l’administration d’enregistrer le transfert de propriété.
N’oubliez surtout pas qu’il faut signer et barrer votre carte grise, avant de la remettre au nouveau propriétaire du véhicule. Il reste un document important à ne pas négliger qu’est le certificat de situation administrative, que l’on connait plus communément sous la désignation de certificat de non gage. L’acheteur doit être mis en possession de ce document, il lui assure que le véhicule n’est pas gagé pour couvrir le paiement d’une quelconque amende ou tout autre saisie administrative. Plus concrètement cela certifie que le véhicule concerné peut être vendu sans restriction légale.
Ne baissez pas la garde lors du paiement
Une fois la vente actée, on peut être tenté de libérer la tension et sa vigilance dans la foulée. Mais certains individus mal intentionnés ne rechignent pas pour essayer d’escroquer le vendeur avec de faux billets ou des chèques volés quand ils ne sont pas eux même falsifiés. Pour éviter une telle mésaventure, privilégiez les paiements en cash et apprenez à reconnaitre les fausses coupures, car les transactions en espèces ne sont pas limitées entre particuliers. Évitez donc les chèques si vous ne connaissez pas personnellement votre acquéreur.
Ces précautions sont certes fastidieuses et peuvent être la source d’angoisses, que vous pouvez alléger en déléguant tout ou partie de vos démarches à un professionnel spécialisé dans le domaine, d’autant qu’ils permettent des facilités de paiement. En effet, il serait regrettable de compromettre une vente à cause d’un simple oubli, ou d’une petite erreur dans la complétion de quelques paperasses. Évidemment, il faudra également veiller au bon état de votre véhicule dans l’objectif d’en tirer le meilleur prix.